Aranca - 
      
    chanson d'adieu

©2007, Marina Nicolaev
 
la nuit est comme la caresse du papillon
parmi des mots déchirés d’oubli
ses lettres brûlent encore
ma peau...mes rêves
glissent silencieusement
sous nos prochains réverbères éteints
je perds les nuances d’automne,  tu les connais
tout comme sa voix au-dessus de son âme
le souvenir est vertige du danger inconnu
parfois
il prend un relief saisissant
auprès de tous mes bonheurs à jamais perdus
hélas 
 no puede ser
  il est au-delà de tout cela
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Comentarii
bobadil -
La persistence de la memoire e la mort de le courage, c'est le vrais vertige, c'est la vie ma cher madame. Bobadil.