Le soir, sur la colline, le buccin se lamente,
Les troupeaux remontent, les étoiles brillent par la sente,
Les eaux sanglotent, prenant clairement leur source aux puits ;
Sous un acacia, tu es là qui m’attends, chérie.
La lune traverse le ciel, sacro-sainte et notoire,
Tes grands yeux ont l’air de scruter les feuilles bien rares,
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