pietrele aveau un cântec al lor
ce atingea desăvârșirea
dar cine-l mai ține minte?
ceva împrăștie atenția
amintirile umflate de apă
se leagănă în adânc
și eșuează pe țărmuri pustii
depărtate
les pierres-
elles avaient leur musique
particulière
absolue
mais qui s'en souvient encore?
quelque chose disperse l'attention
les souvenirs renflés d'eau
ondoient dans l'abîme
Le soir, sur la colline, le buccin se lamente,
Les troupeaux remontent, les étoiles brillent par la sente,
Les eaux sanglotent, prenant clairement leur source aux puits ;
Sous un acacia, tu es là qui m’attends, chérie.
La lune traverse le ciel, sacro-sainte et notoire,
Tes grands yeux ont l’air de scruter les feuilles bien rares,
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