si les dunes bougent comme des oiseaux blessés
l’écho fleurira la tendresse des bois en hiver
en plein cœur du désert le sphinx pleure sans voix
ses âmes perdues à travers le temps
me retrouvai-je un jour quelque part
où les vivants ne pardonnent pas
les eaux profondes restent muettes de solitude
Les poissons mordent
Ton contour mouvant.
La Lune, dans l’eau
Traversée par des poissons
Coule avec le fleuve vers la mer
Et croise l’ombre des arbres qui se reflètent dans les vagues.
Liée à la foret,
Une barque saute sur les ondes.
La respiration pousse la nuit vers les berges.
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