traducere personală a poemului meu "sfârşitul perioadei albastre"
if others slithered between two air columns
the child who had never learned the race was running
as if swimming face to face with an ocean’s wall
his head like an iron ball
dragging the motionless body
only as far as the tethered roots could stretch
when his father carried him on his shoulders
the child felt through his nostrils
how the man’s steps slice the air
how the wind passes close to the ears as if
walking is another kind of flight allowed only to others
a perfectly directed music
Je suis un Irakien en pyjama, ma femme est Roumaine
et notre fille, le voleur de Bagdad.
Ma mère continue à faire bouillir le Tigre et l'Euphrate,
ma sœur a appris à préparer des pirojki
de sa belle-mère originaire de Russie.
Notre ami, Maroc au couteau plante une fourchette
en acier anglais dans le poisson né près des rivages norvégiens.
Cercueils de plomb dormaient à poings fermés
Comme fleurs de plomb, funéraire vêtement –
Moi. Le caveau !... il y faisait du vent.
Pour faire pendant, couronnes de plomb grinçaient.
Dos tourné, mon amour de plomb dormait
Sur fleurs de plomb ; j’entrepris de l’appeler –
Le mort – seul. Et moi… le froid y régnait…
Traducere după ,,Ein Gleiches (Wandrers Nachtlied)'' de Johann Wolfgang Goethe
Peste crestele nalte,
Tăcere deplină.
Prin crengi străbate
Un vânt ce s-alină
Ca un murmur blând.
În codru glasul păsărilor tace;
Așteaptă în pace:
Odihni-vei și tu în curând.
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Über allen Gipfeln
Ist Ruh,
In allen Wipfeln
Spürest du
Kaum einen Hauch;
Die Vögelein schweigen im Walde.
Warte nur, balde
les tables sont rondes, messieurs
les tables sont rondes
les rues se sont ennuyées de leur couleur
noire
les portes aboient toujours après les passants
elles aboient toujours après eux
et les murs sont si occupés par leurs ombres
que les âmes ont perdu patience
attendant dans des corps et en l’air
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