De ce ți-e teamă de-ochii de vădană
Înlăcrimați și ești atât de laș?
Vei fi jelit căci vei lăsa o rană
În lume de-ai să mori fără urmași.
Vei plânge aprig sărăcind pământul
De forma umbrei tale, într-o zi
Și la sfârșit nici văduva mormântul
Nu-ți va săpa sub pleoape de copii.
Privește ce risipă faci din lume
Schimbând-o des de parcă-ar fi ta,
Dar frumusețea-i plină de cutume
Du temps, conclu, le mystère de cette crête tranquille, mais leste
Pénétrant, par la glace, dans un délivré azur,
Confectionnant de la noyade des troupeaux agrestes,
Dans le pullulement de l’eau, un jeu second, plus pur.
Nadir latent ! Le poète assume cette élévation
De l’ensemble des harpes disséminées en vol inverse,
Déserte et blanche, la chambre est pareille à un mort…
Le feu dans l’âtre s’éteint, réduit en cendres… -
Le poète reste tout près, foudroyé par le sort,
Et nulle flamme à ses yeux ne vient se suspendre…
Et son grand génie, au mythe paraît atteindre…
les tables sont rondes, messieurs
les tables sont rondes
les rues se sont ennuyées de leur couleur
noire
les portes aboient toujours après les passants
elles aboient toujours après eux
et les murs sont si occupés par leurs ombres
que les âmes ont perdu patience
attendant dans des corps et en l’air
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