Il est le seul à mener vers l’Ether
Le sillon creusé au pays, dès le foyer.
A les voir s’arc-bouter aux cornes du fer,
Il semble coulé en bronze, les bœufs en rocher.
Le blé, le maïs, le seigle, l’orge, le millet
Aucune graine ne court le risque de se détruire.
La lame de la charrue, quand retournée,
S’attarde un peu sous le soleil pour roussir.
Iubirea mea dospind nu-i mai plăpândă.
Nu m-am răcit chiar dacă buza-ngheață.
(Iubirea scade căutând izbandă
În gura mare, ca o precupeață.)
Cândva și mie, dragostea ne'nfrântă
A tinereții-n mugur, primavara,
Îmi glăsuia, cum filomela cântă
Cu vocea-i tandră, când se lasă seara.
Nici toamna nu-i mai rece sau mai acră,
Decât atunci când ea cânta în noapte,
Dormant sur mes feuilles, le temps me poudrait...
Partant de l’autre monde, s’étendait le néant;
Une ombre, dans la chambre, sur mes épaules pesait –
Je voyais l’invisible, l’inexistant parlait.
– Va te coucher, la nuit et l’heure sont avancées,
Tu écriras après, n’importe quoi; toujours rien.
Tu es déjà une ombre; je t’enlève aisément,
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