les tables sont rondes, messieurs
les tables sont rondes
les rues se sont ennuyées de leur couleur
noire
les portes aboient toujours après les passants
elles aboient toujours après eux
et les murs sont si occupés par leurs ombres
que les âmes ont perdu patience
attendant dans des corps et en l’air
out of the bus all afternoons
can be seen dilated by heat
my body warming the backseat
along with the heart like a scared butterfly
of the blonde woman near the window
silence wrapping the city with
an infinite net of delusive sensations
glowing inside the bodies flattened
by the speed of the city seen through the rear window
simt uneori cum înoată
în mine o sepie ca o inimă
când tu te apropii
fuge în coapsa stângă
deghizată într-o ploaie roşie
când te îndepărtezi
mi se refugiază în pântec
ce devine un fel de acvariu fluorescent
pe care tu ai vrea
să-l mângâi noaptea în pat
Déserte et blanche, la chambre est pareille à un mort…
Le feu dans l’âtre s’éteint, réduit en cendres… -
Le poète reste tout près, foudroyé par le sort,
Et nulle flamme à ses yeux ne vient se suspendre…
Et son grand génie, au mythe paraît atteindre…
Comentarii aleatorii