de atâtea ori ar fi trebuit să vorbim
astăzi plutesc în tăcerea aceasta ca un galion
cu echipajul decimat de holeră.
nu vreau pânze noi nici o altă busolă mai degrabă aruncă-mă-n aer
sparge ferestrele
am nevoie de tine ca de singura piele în care mai pot să-mi întorc
dimineaţa spre nord.
Cercueils de plomb dormaient à poings fermés
Comme fleurs de plomb, funéraire vêtement –
Moi. Le caveau !... il y faisait du vent.
Pour faire pendant, couronnes de plomb grinçaient.
Dos tourné, mon amour de plomb dormait
Sur fleurs de plomb ; j’entrepris de l’appeler –
Le mort – seul. Et moi… le froid y régnait…
Je parle aujourd’hui en souvenir des mots coinçés autrefois
dans ma bouche,
en souvenir des roues dentées broyant les syllabes
sous la langue et sentant la poudre à canon
entre le palais et les lèvres sombres.
Je rêvais alors de faire passer ces mots clandestins camouflés comme des marchandises de contrebande
dans les cavernes de la bouche,
déchirer l’emballage de carton et arracher
the neon light twinkling on the hallway
like a motion detection sensor
especially mounted to catch
your heartbeats in the way
downstairs to the copier
and the fear, the intense fright
that the perfume which perpetrates
the office under the door is not yours
annihilating my will and nazal fosses
just like the e-mail unexpectedly arrived does: please, print the document
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