Dormant sur mes feuilles, le temps me poudrait...
Partant de l’autre monde, s’étendait le néant;
Une ombre, dans la chambre, sur mes épaules pesait –
Je voyais l’invisible, l’inexistant parlait.
– Va te coucher, la nuit et l’heure sont avancées,
Tu écriras après, n’importe quoi; toujours rien.
Tu es déjà une ombre; je t’enlève aisément,
Sur ses lèvres se dessine l’écho murmuré du dernier vers de la berceuse aimée.
Un ruban jaune embellit ses cheveux
tandis que les boucles délaissées n’ont pas encore effacé - sur son front – la trace du baiser de Dieu.
En 1920, deux années après sa naissance, la vie, en son corps, fut embaumée
et quelqu’un demanda: à la fin du temps, n’y aurait-il pas
un quart d’heure de plus ?
Regretul nu-i că ea îți aparține,
Iar eu revărs prinosul de iubire,
Ci este-acela că și ea pe tine
A pus gingaș de-a pururi stăpânire.
Iubirii voastre nu-i găsesc acuze;
Deși-o-ndrăgești știind căt mi-e de dragă
Și-amorul ei împărtășit abuz e,
Încuvi'nțez și iert tot ce vă leagă.
Dacă te pierd, o alta te căștigă,
Pe ea de-o las, prietenu-o găsește,
Voi împreună, însă mi-este frică
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