les tables sont rondes, messieurs
les tables sont rondes
les rues se sont ennuyées de leur couleur
noire
les portes aboient toujours après les passants
elles aboient toujours après eux
et les murs sont si occupés par leurs ombres
que les âmes ont perdu patience
attendant dans des corps et en l’air
Du temps, conclu, le mystère de cette crête tranquille, mais leste
Pénétrant, par la glace, dans un délivré azur,
Confectionnant de la noyade des troupeaux agrestes,
Dans le pullulement de l’eau, un jeu second, plus pur.
Nadir latent ! Le poète assume cette élévation
De l’ensemble des harpes disséminées en vol inverse,
Traducere după ,,Ein Gleiches (Wandrers Nachtlied)'' de Johann Wolfgang Goethe
Peste crestele nalte,
Tăcere deplină.
Prin crengi străbate
Un vânt ce s-alină
Ca un murmur blând.
În codru glasul păsărilor tace;
Așteaptă în pace:
Odihni-vei și tu în curând.
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Über allen Gipfeln
Ist Ruh,
In allen Wipfeln
Spürest du
Kaum einen Hauch;
Die Vögelein schweigen im Walde.
Warte nur, balde
Je dis que c’est un excès de fierté
Qui pousse l’homme à s’installer dans cette attente
Comme une fillette assise sur son lit attendant
Que ses jambes
grandissent touchent le plancher
Attente douloureuse
Due à une contraction des muscles
de l’imagination
attendant
autre chose
– Mais est-ce même possible ?
attendant attendant attendant
tirant le fil enroulé sur le fuseau
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