Spre fruntea-ți, soră blândă, unde visează-amărui
O toamnă nostalgică presărată cu pistrui,
Și spre cerul înalt al privirii tale angelice
Urcă sufletul meu, ca-n grădini melancolice,
Credincios, un havuz ce suspină spre-Azur,
Spre Azurul frăgezit de-un Octombrie pur,
Oglindind în bazine langori infinite,
Lăsând pe-apa moartă agonii amorțite
De frunze în vânt și săpând o cărare
Le collines tout autour de la cime attendent la tombée de l’ombre
sous les cils ensommeillés du soleil,
le bloc de basalte qui gronde en roulant
et la lave qui fera tomber en gouttes sur leurs corps
l’orgasme des anges.
Je prends cette photo sur le même film où j’ai immortalisé
à la fin de l’été, en Galilée, le général Colchique
agitant la baguette de l’automne,
la broussaille ondoyante
traducere personală a poemului meu "sfârşitul perioadei albastre"
if others slithered between two air columns
the child who had never learned the race was running
as if swimming face to face with an ocean’s wall
his head like an iron ball
dragging the motionless body
only as far as the tethered roots could stretch
when his father carried him on his shoulders
the child felt through his nostrils
how the man’s steps slice the air
how the wind passes close to the ears as if
walking is another kind of flight allowed only to others
a perfectly directed music
Du bout du doigt, la plus belle fille du monde essuyait la poussière
sur l'étiquette d'une bouteille dans une boutique de vins à Bordeaux.
L'envolée de ce geste - on l'apprend dans les écoles d'archéologie
quand on écarquille les yeux pour déchiffrer l'année d'origine.
La mémoire du vin ne garde plus le souvenir de la main qui avait
pressé les raisins,
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