Déserte et blanche, la chambre est pareille à un mort…
Le feu dans l’âtre s’éteint, réduit en cendres… -
Le poète reste tout près, foudroyé par le sort,
Et nulle flamme à ses yeux ne vient se suspendre…
Et son grand génie, au mythe paraît atteindre…
I still wear the clothing from another life
used, full of stars
tips of light grow in pockets
the way you know me
lost in old bookstores
breathing in catalogs, sketches, engravings
with scattered memories
counting the bridges across Seine
transient boats
the clouds lay in bema
starved
they devour me
on this ineffable highway
in me
incendiary I wander
Le collines tout autour de la cime attendent la tombée de l’ombre
sous les cils ensommeillés du soleil,
le bloc de basalte qui gronde en roulant
et la lave qui fera tomber en gouttes sur leurs corps
l’orgasme des anges.
Je prends cette photo sur le même film où j’ai immortalisé
à la fin de l’été, en Galilée, le général Colchique
agitant la baguette de l’automne,
la broussaille ondoyante
Cavaler vestit
Și vesel gătit
Pe drum a apucat-o,
Prin umbră și prin soare,
Cântând cântări ușoare,
Să caute-Eldorado.
*
Însă-mbătrâni
Cavalerul și
În piept i s-a prelins
O umbră, fiindcă el
Nu a găsit defel
Acel tărâm de vis.
*
Iar apoi pierzând
Puteri și avânt,
Pe-o umbră-a întrebat-o:
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