Le geste flirteur est un animal domestique cajoleur,
la parole, c'est brandir un revolver
et les années s'éloignant de l'âge de 16 ans
ressemblent aux chatons qu'on veut retenir
du bout du bras.
En fin de compte même un tireur généreux n'est qu'un tireur.
Le visage qui se cache, l'éclat du sabre le trahit
et sur le verre de chaque vitrine
se reflète la ville
en flammes.
Déserte et blanche, la chambre est pareille à un mort…
Le feu dans l’âtre s’éteint, réduit en cendres… -
Le poète reste tout près, foudroyé par le sort,
Et nulle flamme à ses yeux ne vient se suspendre…
Et son grand génie, au mythe paraît atteindre…
Fliaci travestiti da poeti
burocrati arroganti,
pedanti imbonitori
siete voi i vessilliferi:
portatori d'insegne sbiadite.
L'esser poeti non è un vanto.
E' solo un vizio di natura.
Un peso che s'ingroppa
con paura.
Cercueils de plomb dormaient à poings fermés
Comme fleurs de plomb, funéraire vêtement –
Moi. Le caveau !... il y faisait du vent.
Pour faire pendant, couronnes de plomb grinçaient.
Dos tourné, mon amour de plomb dormait
Sur fleurs de plomb ; j’entrepris de l’appeler –
Le mort – seul. Et moi… le froid y régnait…
Questa verde serata ancora nuova
e la luna che sfiora calma il giorno
oltre la luce aperto con le rondini
daranno pace e fiume alla campagna
ed agli esuli morti un altro amore;
ci rimpiange monotono quel grido
brullo che spinge già l' inverno, è solo
l' uomo che porta la città lontano.
e nei treni che spuntano, e nell' ora
fonda che annotta, sperano le donne
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