Pe suflet, ca pe-o pânză, cu penelul,
Eu te-am răpit pe veci închipuirii,
Ca să-mi admir prin trupul-ramă, țelul
Duios din perspectivele iubirii.
Nici pictorii nu te-ar schimba în artă,
Căci n-ar cunoaște-adevărata-ți față
Ce încă uneori mi se arată
Prin ochiul atelierului, în ceață.
Privirea mea cu-a ta se împletește,
Căci amintindu-mi forma-ți prin fereastră
it rained in June
and that odd feeling of liberty
from the tip of the cherry tree
was watching me again
from somewhere else
archimboldo widely opened the windows
the kiss moisten by cherries
on the memory easel
until
our shadows liquefied tenderly
in Sunday clothing
on the streets of Saint Germain
Cercueils de plomb dormaient à poings fermés
Comme fleurs de plomb, funéraire vêtement –
Moi. Le caveau !... il y faisait du vent.
Pour faire pendant, couronnes de plomb grinçaient.
Dos tourné, mon amour de plomb dormait
Sur fleurs de plomb ; j’entrepris de l’appeler –
Le mort – seul. Et moi… le froid y régnait…
Je parle aujourd’hui en souvenir des mots coinçés autrefois
dans ma bouche,
en souvenir des roues dentées broyant les syllabes
sous la langue et sentant la poudre à canon
entre le palais et les lèvres sombres.
Je rêvais alors de faire passer ces mots clandestins camouflés comme des marchandises de contrebande
dans les cavernes de la bouche,
déchirer l’emballage de carton et arracher
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