La despărțire, irisul, spre minte
S-a reîntors și visul mi-l veghează;
Juma'te-nchis, se străduie cuminte
Să mai arunce-n juru-mi câte-o rază,
Dar nu trimite inimii-mpietrite
Conturul clar de aripi sau petale,
Căci prinse-n zbor, obiectele grabite,
Nu își găsesc în temniță tipare.
E mult prea ascuțită sau senină
Privirea mea și-n vietăți diforme
Sau gingașe, prin beznă sau lumină,
Cercueils de plomb dormaient à poings fermés
Comme fleurs de plomb, funéraire vêtement –
Moi. Le caveau !... il y faisait du vent.
Pour faire pendant, couronnes de plomb grinçaient.
Dos tourné, mon amour de plomb dormait
Sur fleurs de plomb ; j’entrepris de l’appeler –
Le mort – seul. Et moi… le froid y régnait…
Je dis que c’est un excès de fierté
Qui pousse l’homme à s’installer dans cette attente
Comme une fillette assise sur son lit attendant
Que ses jambes
grandissent touchent le plancher
Attente douloureuse
Due à une contraction des muscles
de l’imagination
attendant
autre chose
– Mais est-ce même possible ?
attendant attendant attendant
tirant le fil enroulé sur le fuseau
Verrà la morte e avrà i tuoi occhi-
questa morte che ci accompagna
dal mattino alla sera, insonne,
sorda, come un vecchio rimorso
o un vizio assurdo. I tuoi occhi
saranno una vana parola,
un grido taciuto, un silenzio.
Così li vedi ogni mattina
quando su te sola ti pieghi
nello specchio. O cara speranza,
quel giorno sapremo anche noi
che sei la vita e sei il nulla
Du bout du doigt, la plus belle fille du monde essuyait la poussière
sur l'étiquette d'une bouteille dans une boutique de vins à Bordeaux.
L'envolée de ce geste - on l'apprend dans les écoles d'archéologie
quand on écarquille les yeux pour déchiffrer l'année d'origine.
La mémoire du vin ne garde plus le souvenir de la main qui avait
pressé les raisins,
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