Dormant sur mes feuilles, le temps me poudrait...
Partant de l’autre monde, s’étendait le néant;
Une ombre, dans la chambre, sur mes épaules pesait –
Je voyais l’invisible, l’inexistant parlait.
– Va te coucher, la nuit et l’heure sont avancées,
Tu écriras après, n’importe quoi; toujours rien.
Tu es déjà une ombre; je t’enlève aisément,
Du bout du doigt, la plus belle fille du monde essuyait la poussière
sur l'étiquette d'une bouteille dans une boutique de vins à Bordeaux.
L'envolée de ce geste - on l'apprend dans les écoles d'archéologie
quand on écarquille les yeux pour déchiffrer l'année d'origine.
La mémoire du vin ne garde plus le souvenir de la main qui avait
pressé les raisins,
Dacă ar fi esența cărnii gândul,
Nu m-ar opri distanțele mârșave,
Ci le-aș străbate surâzând ca vântul
Ce-adunce-n portul tău iubit epave;
Nu mi-ar păsa ca între noi pământul
S-a așternut hulpav căci în secunde
Gândurile-mi sprințare,-nconjurându-l,
Te vor găsi oriunde te-ai ascunde.
Dar iată, îmi denunță neputința
Același gând de a-ți urca Olimpul,
Fi'ndcă din lut și apa mi-e ființa
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