Quand les ondes du cerveau s’unissent aux vagues
de la mer
Quand la fugue des pensées fond dans
l’inspiration-expiration du grand corps
de cet énorme animal gisant, océan
quand la membrane molle de mon propre tympan minuscule capte le battement
des tambours du gouffre
et je reprends: quand les ondes du cerveau se soudent aux
vagues de la mer-mer-mer-mer
Sur ses lèvres se dessine l’écho murmuré du dernier vers de la berceuse aimée.
Un ruban jaune embellit ses cheveux
tandis que les boucles délaissées n’ont pas encore effacé - sur son front – la trace du baiser de Dieu.
En 1920, deux années après sa naissance, la vie, en son corps, fut embaumée
et quelqu’un demanda: à la fin du temps, n’y aurait-il pas
un quart d’heure de plus ?
I bambini che pensano negli occhi
hanno l' inverno, il lungo inverno. Soli
s' appoggiano ai ginocchi per vedere
dentro lo sguardo illuminarsi il sole.
Di là da sé, nel cielo, le bambine
ai fili luminosi della pioggia
si toccano i capelli, vanno sole
ridendo con le labbra screpolate.
Son passate nei secoli parole
d' amore e di pietà, ma le bambine
piesa lui Pavel Stratan în engleză, varianta Bogdan Geană
The coat hangs on the wall,
There is no sun at all,
Nothing is going right
Since I think of Ghiță,
But Ghiță’s not around,
I lately checked it out,
He left, there is no doubt,
Over the border…
Hard, I find it very hard,
Want, don’t know what I want,
You, like me too, I know,
Ghiță, why you speak no more?
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