Il est le dernier poil frisé de la moustache de Salvador Dali.
Il est la balle égarée du Winchester de John Wayne.
Il est le rasoir qui a tailladé la figure de métaphore de la poésie.
Il est le dattier qui a adouci les arbres du paradis le long du Tigre et de l’Euphrate.
Qu’avions-nous donc, demandé-je à Abdul Kader El-Janabi,
au cinquième étage, rue Nollet, près de Clichy, à Paris.
De ce își pierde versu-mi strălucirea
Și curge-n matcă leneș și anost?;
De ce nu-și poate-afla, prin oglindirea
În unda vie-a vremilor, alt rost?
De ce-mi păstrează-același drum penița
Și poartă-același desuet vesmânt,
Încât trădează numele-mi și vița,
În urma sa, prin orișice cuvânt?
Doar ție și iubirii se închină
Versu-mi stingher căci tot ce am mai bun
the wind blew in the orchard of golden apples
and fell sick before sunrise
only a grain of sand was enough
to make the unicorn invisible
except for its heart
the eyes of the archaeopteryx
always reflect the mundane image
of seas from the sky
while the hippogryph
tired of being alone
sleeps with wings unfolded ahead
Je dis que c’est un excès de fierté
Qui pousse l’homme à s’installer dans cette attente
Comme une fillette assise sur son lit attendant
Que ses jambes
grandissent touchent le plancher
Attente douloureuse
Due à une contraction des muscles
de l’imagination
attendant
autre chose
– Mais est-ce même possible ?
attendant attendant attendant
tirant le fil enroulé sur le fuseau
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