La solitude fourmille déjà dans nos villes,
dont les rues sont hantées par l’Oubli.
Tout déborde de riens qui se rangent en double file
au nez de mecs parfaitement inaccomplis…
A la barbe des glabres, passe l’ombre blanche d’un espoir
raté, criblé des rayons nocturnes, qu’une fée
mauvaise tisse pour nous et brode de désespoir.
C’ est l’un de ces moments cosmiques
Quand je m’arrête dans mon chemin
Avec ma conscience en garde :
A l’angle de la rue Linne,
Face au Jardin des Plantes.
Oui, c’est le matin,
Un matin de lumière liquide !
Mes épaules rompent la toile phréatique
Avec puissance comme la déesse Diana.
Devant moi, la fontaine Cuvier :
je dessine lentement mon amour
au temps des bateaux de pêche de l’île
vers des royaumes aveugles
telle la tendresse perdue de ton corps
respirant encore sous ma peau
la colère des dieux entre les murs du Parnasse
la sécheresse des mots
Quasi tutte le luci della città sono accese e dal bianco immacolato riflette un calore estetico che ammorbidische istantaneo lo sguardo fugace, gli occhi notturni nascosti nel manto della notte come le perle nere che brillano nel solito guscio mirifico in un sorriso goffo e silenzioso.
emma is a girl
i never asked her anything
(she may very well be an animal
or a clock)
or maybe she is
an animal and a clock
i never asked her anything
but she is ticking
like a clock
is moving like an animal
friday i’ll ask her out
emma is a time bomb
but today is just another day
it’s just tuesday
or maybe all this
is another terrorist plot
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