Il est le dernier poil frisé de la moustache de Salvador Dali.
Il est la balle égarée du Winchester de John Wayne.
Il est le rasoir qui a tailladé la figure de métaphore de la poésie.
Il est le dattier qui a adouci les arbres du paradis le long du Tigre et de l’Euphrate.
Qu’avions-nous donc, demandé-je à Abdul Kader El-Janabi,
au cinquième étage, rue Nollet, près de Clichy, à Paris.
Cercueils de plomb dormaient à poings fermés
Comme fleurs de plomb, funéraire vêtement –
Moi. Le caveau !... il y faisait du vent.
Pour faire pendant, couronnes de plomb grinçaient.
Dos tourné, mon amour de plomb dormait
Sur fleurs de plomb ; j’entrepris de l’appeler –
Le mort – seul. Et moi… le froid y régnait…
Traducere după ,,Ode on Intimations of Immortality from Recollections of Early Childhood'' de Willia
A fost un timp când pajişti, crâng, izvoare,
Pământ, priveliştile toate,
Îmi apăreau fermecătoare
Şi în lumină-nveşmântate,
În prospeţimi de vis şi în splendoare.
Azi ele nu mai sînt ca altădată;
Oriunde aş privi,
Noapte sau zi,
Nu le mai văd cum le vedeam odată.
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